Il vient alors une question. Comment peut-on perdre complètement la trace d'une ville qui a compté jusqu'à 200 000 âmes et s'étale sur plusieurs dizaines de km²?
Difficile d'imaginer les outrages du temps. Ces centaines de milliers de jours ou la pluie, le vent, les feuilles, les racines ont encerclé la cité, avant de la submerger et la recouvrir de terre et de végétation. Pour finalement atteindre ça:
D'un temple massif et orgueilleux...
Il apparait alors, le travail titanesque de réhabilitation d'un tel site et la fragilité de ces géants de pierres qui n'existent et ne survivent que par la main de l'homme qui toujours les soigne. Il devient alors plus évident de penser que de plus vastes cités dorment encore au secret perdues dans la forêt.
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